Une citation de Jean-Paul Sartre
proposée le jeudi 30 septembre 2010 à 21:50:48Jean-Paul Sartre - Ses citations
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Maintenant, je ne pense plus pour personne ; je ne me soucie même pas de chercher des mots. Ca coule en moi, plus ou moins vite, je ne fixe rien, je laisse aller. la plupart du temps, faute de s'attacher à des mots, mes pensées restent des brouillards. Elles dessinent des formes vagues et plaisantes, s'engloutissent : aussitôt, je les oublie.
La nausée'', Gallimard, Coll. Gallimard, 1990, p.20. -
Jean-Paul Sartre
Les objets, cela ne devrait pas toucher, puisque cela ne vit pas. On s'en sert, on les remet en place, on vit au milieu d'eux : ils sont utiles, rien de plus. Et moi, ils me touchent, c'est insupportable. J'ai peur d'entrer en contact avec eux tout comme s'ils étaient des bêtes vivantes.
La nausée, Gallimard, Coll. Gallimard, 1990, p.26. -
Jean-Paul Sartre
Tout nous vient des autres ... Etre, c'est appartenir à quelqu'un.
Cité dans "Eloge des femmes mûres" de Stephen Vizinczey. -
Jean-Paul Sartre
Seule compte la réalité. Les rêves, les attentes, les espoirs permettent seulement de définir un homme comme rêve déçu, comme espoirs avortés, comme attentes inutiles.
L'existentialisme est un humaniste -
Jean-Paul Sartre
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